Sous un nuage, un joli lys Passe comme ce ravage. Détruire mon nid Sur une allée cette soif d’amour Tel un fou qui s’en souvient tous les jours Pareil que l’ange qui pleure toujours Le brouillard suivit d’une brise La brume caresse d’une bise Mais me prit l’âme Vers les cieux des yeux de cette femme