Même si le vent ne tient plus en place, même si parfois nous ressemblons à ce gibier poursuivi par des chiens fous, le désordre n'est qu'apparent. Il faut laisser la main à la plume et au pinceau; laisser les lèvres au chant et à l'amour; laisser les pieds à la terre et à l'empreinte et laisser le temps crayonner sur la peau. Tout se défait et se construit dans un même mouvement.