Ce n’est pas ton pas balancé
Ce n’est pas ta mèche rebelle
Ni tes yeux d’ardente gazelle
Ou ton teint pareil à l’albâtre
Qui me font rêver de ton front.
Je songe à cette barrière
À la limite où tu écris
Défendu d’aller plus avant,
Ce jardin tout embroussaillé
Ne veut surtout pas qu’on le viole.