Tes yeux - Alexandre Messé
Bohème - Aliscan
Souffrir d'aimer - Djamila Amgoud
Je suis venue vous dire - Arche
Page blanche - Gabriel Arnaud
Une autre plage - Patrick Aveline
Le corps - Christelle Bausson
Torpeur - Régine Beauvais
Une renaissance - Djamila Bélarbi
Asile poétique - Bleudasi
Dévastation - Gilles-Marie Chenot
Solstice du rêve - Marie-Josée Christien
Jardin secret - Chrys de Bayle
Romanité - Irène Duboeuf
Mon cœur est en avril... - Robert D'Argent
La musique - Eliane.Florentin
En regardant mourir l'hiver (extrait) - Frédéric Eymeri
La vieille licorne - Garlop
Gérer l'instant - Slaheddine Haddad
Regard - Denis Heudré
Né de la mer - Jean-Baptiste
Après... - Christian Laballery
Le vieux sage debout... - Sylvie Latrille
Le dégout du rêve. - Lilly W.
La nuit est le réel de notre monde - Loyan
Cela arrive parfois - Jacques Lucchesi
Mon automne... - Lunessences
Ça - Serge Maisonnier
S'il existe.... - Marievirgule
Helvète jusqu'au bout… - Mohand
Les pas - Vincent Motard-Avargues
L’amour est un crime - Najat
Forestitude - Lydia Padellec
Noire et Blanc - Emmanuel Parmentier
N'être - Thierry Piet
Un regard bleu doux - Plume - Corinne Giacometti
L'année à venir - Mireille Podchlebnik
Être - Quemoi
Fou comme un lapin - Morgan Riet
Écrire - Jacques Rolland
Capitale terre - Anick Roschi
Je ou le porté disparu - Dina Sahyouni
Ce sera un matin - Jacques Thomassaint
Des charrettes de douceur... - Luc Triquell
L’ennui doucement s’est glissé Dans ma vie, même sous ma peau. Hypocrite, il s’est immiscé Au fond de mes yeux noirs corbeau. Jour après jour d’un pas feutré, L’ennui doucement s’est glissé. Non, je ne l’ai pas vu venir, Et tu as préféré partir. Dans tes « je t’aime » et mes baisers, Tel le brouillard d’un soir d’hiver, L’ennui doucement s’est glissé, Poudrant nos draps d’un goût amer. Mes nuits de ton corps sont privées, Mes soupirs ne sont plus de flammes, Et « nous » se parfume de larmes… L’ennui doucement s’est glissé. © Lunessences http://lagaleriedesvers.forumactif.net