Ô splendide nature ! votre beauté reluit
À travers l'âge mûr du lointain temps fini.
Bourgeonnez-vous ce jour où le printemps arrive ?
Ressentez-vous l'amour d'une légère brise vive ?
Prennent-ils soin de vous ces êtres malmenés ?
Pardonnez-leur donc tout, à ces ineptes morts-nés.
Que diable reste-t-il de votre superbe,
Si ces êtres futiles vous donne cette face acerbe ?
Hâtez-vous de défendre votre patrimoine sacré,
Pour enfin leur apprendre à ces loups affamés.
Oseront-ils ensuite vos malpropres enfants,
Appliquer des rites sur des cadavres vivants ?