Zinc - Aliscan
Proseidon - Amajyp
À une étoile - Djamila Amgoud
Legs à l'enfant - Régine Beauvais
Qu'une femme ! - Djamila Bélarbi
Sublimation - Bleudasi
Espace vital - Florence Boutet
J'arrive - Ludovic Chaptal
Lumière d'un matin - Jean-Louis Chartrain
Hiver - Marie-Josée Christien
Acendance Lyrique - Chrys de Bayle
Le plâtre de tes mots - Virginie Couillaud
Allons enfants de la poésie ! - Virginie Couillaud
Aimer l'amour - Dinah
Prophétie de la morte saison - Irène Duboeuf
Cet amour-là ! - Emanille
Béatrice - Darwin Etienne
Les rues ont des rêves de boucher - Patrice Follenfant
C'était hier, et c'est demain.... - Francette François
Poussières d'or - Régine Garcia
L'abbé du désert - Gaùpo
blab - Ingrid Joly-Bertrand
AV - K.San
Pour le Peuple de Haïti - Laformiotodidac
Petite fable en huit couleurs - Jacques Lucchesi
Petit Paul... - Serge Maisonnier
Le temps à l’échelle de ta vie. - Marievirgule
Cendres et lumière - Meguedad
La malle aux livres - Méliscribe
Camus au fer au Panthéon - Mohand
Mais c'est ailleurs toujours - Martine Morillon-Carreau
Je t’invite - Nan
Danse - Thierry Piet
Dis-moi - Plume
Jours contraints - Mireille Podchlebnik
Enchaînement... - François Poupet
Regarde papa, il neige ! - Rickways
Toast - Morgan Riet
À mes frères d’ignorance - Jacques Rolland
Beauté obscure - Claude Romashov
Chevaux au galop - Emma Rotini
Je me laisse pousser des ailes - Salvatore Sanfilippo
L'ultime espoir - Tegorion
Nue je suis venue au monde - Meriem Tellache
Solstice - Fabienne Thomas
Ticket - Valdosilasol
Saloperies ! - Vincent Motava
Mais c’est ailleurs toujours chemins de broussailles de nulle part d’errance chemins braconniers toujours ailleurs au cœur égaré labyrinthes battant coeur regratté bruit des villes vacarme des villes à courir palimpsestes plus loin vite aussi toujours ailleurs et la mer est étroite plus que sous les mains sèches du désert leurs doigts d’os un tambour calebasse retournée cœur sourd sur la cuvette d’émail des femmes tambour d’eau nomade étroite Mais c’est toujours ailleurs mon amour Et jusqu’au cœur jardin clos de l’amour ses fontaines tant bien que mal accordées ailleurs que tout commence dans l’instant la parole désirée du silence son retrait comme incessant mystère d’un sourire qui éluderait ailleurs mon amour et sans abri vers le chant la lumière en ce lieu peut-être entendu au-dessus du ciel (extrait de Mais c'est ailleurs toujours, Sac à mots édition, 2008) © Morillon-Carreau http://m.morillon.carreau.free.fr