tes images transpercent mon réveil, mes axes d’amour.
nos complexités se décalent.
tout est réglé.
nos dispositions disparaissent en flux.
je me sens indirect, accessoire.
je sonde la polyphonie de moments fugaces,
de lunes évanescentes.
j’habite les clivages futurs.
exhaler les résidus de fausses apparences
pour accéder aux renouvellements, nuages, espérances.
finalement.
tes espoirs sont rasés.
tout n’est que défaillance,
souillure emmaillotée.
je te lis.
finalement.
tu es l’émersion de mes mots dans un
havre bleu foncé. oui, tu le seras.
sans doute. demain.
un déluge. pour écrire nos réfractions.
oui. tu le seras.
un refrain de glissements. intrépide.
finalement.
oui. tu seras l’harmonie opaque
des fenêtres en vert.
tu seras. l’apothéose poreuse.
oui. des recoins tenaces. des
impatiences. oui.
un nouveau rayon vient de naître.