Dans les méandres du jardin existe un soupirail d’où s’échappe un long filet dorémifasolien qui comme une sirène aspire la volonté des hommes de bonne volonté
Alors au milieu des mûres sur les ronces et des chants d’abeilles l’homme-acteur, dans sa comtemplation dévie son regard pour prêter son oreille à la mélodie
Et déjà dans le millimètre de ce déplacement le jardin s’estompe
Sous le soupirail quelque part dans le jardin existe un labyrinthe et l’homme qui depuis longtemps s’est perdu mais qui bondit encore aux échos dosilasolfamirédiens