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À CHEVAL SUR LA LUNE

texte de Guy CHATY
illustré par Raphaël LERAYS

S’asseoir sur la lune, manger le soleil, se mirer dans une goutte de pluie...
Réjouissances.
Rien n’est impossible à l’enfant et au poète.
Tempête, vent, neige, verglas.
Frayeurs, excitations, portes ouvertes aux situations cocasses, aux jeux de mots rieurs, aux images espiègles.

 

recompenses et distinctions

Prix des lecteurs Lire et Faire lire / Printemps des poètes 2014.

 

48 pages - Quadrichromie - 13 X 21 cm - Broché
2012
ISBN 978-2-912360-78-6

 
 
 

CRITIQUES

Voici une très grosse trentaine de poèmes pour les jeunes de huit à dix ans. L'essentiel des sources d'inspiration sont les phénomènes naturels (comme le vent, la neige, la pluie ou l'orage) et les astres (soleil, lune et leur éclipse). En fait le contenu n'hésite pas à évoquer les conséquences du réchauffement climatique comme dans le poème "La terre est fâchée". L'illustration renforce de façon originale le sens en apportant par l'aquarelle une dose de légèreté dans l'imaginaire, développé en une dizaine de vers d'une dizaine de pieds. En s'appuyant sur des jeux de mots et des jeux de sonorité facilement repérables par les enfants, cet ouvrage peut inciter ceux-ci à imiter une des structures en mettant ses propres mots.
Villoteau / Babelio

Un joli recueil de poèmes magnifiquement illustrés à l’aide du pinceau ; ce graphisme renforce non seulement la dimension onirique des textes mais apporte une dimension sensiblement humoristique. Le titre "À cheval sur la lune" est bien significatif car c’est bien tout ce qui tourne autour de la lune, du soleil et des phénomènes météorologiques qui sont la base des sources d’inspiration de Guy Chaty. Les jeux de mots se conjuguent avec les jeux des sonorités pour mêler humour, imaginaire et mélodie. On se fera une petite idée de l’esprit créatif de l’auteur à travers ce poème :
Vélo-voilé
La roue de mon vélo
Est voilée
Mon papa va
La réparer
Le soleil d’hiver
Est voilé
Le printemps va
Le réparer.
On peut imagine ici de proposer au jeune de jouer lui-même avec "vélo" et "volé" ou "voilé" "poêlé". L’adulte qui accompagnera la lecture de l’enfant trouvera assez facilement dans nombre des poèmes une piste pour susciter la création propre chez le jeune dont il s'occupe.
PaulBlaize71 / Obiwi

De courts poèmes. Joyeux. Les mots jouent aux sonorités, aux multiples sens. Rien n’est aussi simple et facile qu’on pourrait le croire. Ça virevolte et caracole, carapate et carambole. A lire dès cinq ans si on a le désir de vivre en souriant, enfants sérieux s’abstenir à moins de vouloir tenter de sortir des lignes…
Les images accompagnent l’ambiance avec vivacité.
Une réussite d’équilibre et de fantaisie.
Patrick Joquel

On verra qu'ici, bien servis par une mise en scène colorée de Raphaël Lerays, les mots de Guy Chaty se mettent en quatre, se plient en deux, se regardent dans le blanc de la rime, se télescopent joyeusement, jamais à court d'étincelles poétiques qui feront briller les yeux des jeunes lecteurs. Tous - et les grands ne seront pas en reste - aimeront découvrir, à travers ces délicieuses comptines, la fantaisie des saisons, celle tout aussi imprévisible des êtres et des choses quand la poésie, en danseuse sur son vélo magique, en met un rayon /pour filer/ Comme une étoile. Une indiscutable réussite.
Jean-Paul Giraux. Poésie-sur-Seine n°81

À cheval sur la lune, on est plus près des Nuages, comme celui-là qui dépérit en pluie : À tout âge/ le nuage / est nu / Quand il a trop couru / il est en nage/ il sue. Mot pour un autre et jeux de mots vont bon train dans ce recueil printanier et doux, où les sonorités et les onomatopées s'ébattent en liberté dans l'herbe, et dévalent les pentes en roulant sur elles-mêmes comme des enfants. Ceux qui connaissent les livres de Guy Chaty ne s'en étonneront pas : malicieux, lucide, toujours généreux, il orchestre la ronde d'une quarantaine de poèmes courts et ludiques. Les lavis accompagnent les poèmes de manière légère, la maquette est aérée. Le lecteur respire de grandes bouffées d'air frais en se promenant au fil des pages. Il picore, il s'arrête, cueille un poème, y retourne. Ancien instituteur, le poète donne la parole aux maîtres et aux maîtresses, au milieu des paroles des enfants. Il distille des petits conseils de vie, des sagesses sans en avoir l'air - Chacun sa place,  À sa façon  - et des poèmes-câlins : Pourquoi courir dans la cour (.) Plutôt jouer sur ta joue !  On sent un univers riche qui affleure derrière le jeu des syllabes. Un joli livre à mettre entre toutes les mains, de 8 à 108 ans et plus !
Françoise Siri. Revue Texture, site de Michel Baglin, mars 2013

Avec A cheval sur la lune, Guy Chaty, qui en poète sait merveilleusement jouer avec les mots, nous enchante. Mais il n’est pas seul à le faire, il a trouvé en Raphaël Lerays, grâce au choix de son éditeur SOC & FOC un fantastique illustrateur. Celui-ci fait mieux qu’accompagner ces poèmes, comptines et fabulettes de Chaty. En effet, avec son talent de scénographe et de réalisateur de dessins animés, il met ici particulièrement en valeur au moyen de dessins extrêmement originaux et inventifs les textes plein de grâce et de poésie de l’auteur. Ainsi, du vélo-voilé au vélo-soleil, du halo de la lune à la lune immobile, de l’oiseau mésange qui se mouche dans les nuages au manège des nuages lorsque l’orage éclate, nos deux artistes en parfaits funambules à l’imagination débridée nous font faire un bien joli voyage.
http://www.penclub.fr/

Un beau poème inaugural : Le soleil s’est levé / comme un œuf à la coque... Vent, neige, nuages, un temps gla-gla de verglas. La canicule aussi : Ifécho dit le boucher... On cuit cuit dit l’oiseau... Yapludo dit le héron. Une série de poèmes sur la lune : Pourquoi le soir la lune a un halo ? / C’est parce qu’elle téléphone !. Les colères de la terre, inondations, éruptions, tsunamis. Du côté des illustrations, effets de vent et de tempête ébouriffants. Un rapport texte/illustration qui respire : petites touches gracieuses, harmonie des couleurs, une petite pointe de féerie, Un très beau recueil poétique climatique.
O. B. Inter CDI n° 242

À cheval sur la lune, on voyage forcément dans un pays imaginaire où se gobe le soleil comme un œuf à la coque. Et les chamboulements que suscitent vent, pluie, tempête sont prétexte à trouvailles et à éclats de rire. Juste un élément grave : La terre en a gros sur la patate / d’être traitée et maltraitée / comme une vieille savate. Une terre qui ne décolère pas et au comble de la rage / envoie des raz de marée / sur les plages. Les jeux avec les lettres et les sons donnent envie aux lecteurs petits ou grands de jouer aussi avec les éléments du monde (oiseau, fleur, nuage, poussière…etc.). Et l’humour déplace, détourne le réel, le transfigure, lui donne une saveur douce ou piquante. La poésie est offerte à tous avec des mots simples : La feuille se trémousse / toute nue sur la mousse.
On marche au galop de la jubilation et de magnifiques illustrations animent des êtres lunaires, surnaturels qui nous attirent dans les airs ou dans d’étonnantes aires…
À enfourcher prestement et à ne pas lâcher- ce cheval sur la lune-
Jacqueline Persini-Panorias
 
35 fabulettes haikoumorphes. Les mots y jouent à saute-rime. L'auteur à lutine-lune.
Jean-Pierre Desthuilliers, Jointure n° 95, mai 2013
Guy Chaty, poète, nouvelliste, essayiste, critique, auteur de théâtre, connait bien l'enfance. Mais ce beau recueil, superbement illustré par Raphaël Lerays, s'adresse aussi aux adultes qui savent encore rêver et espérer tout en étant lucide. Pourquoi ce soir la lune a un halo ? C'est parce qu'elle téléphone. 
Pol-Jean Mervillon
, le Petit Quentin, mai 2013 n°286

 Comptines et racontines, tel est l'objet du petit recueil que le poète Guy Chaty vient de publier aux toujours plaisantes éditions SOC&FOC, agrémenté des cocasses illustrations de Raphaêl Lerays. Tenir le fil de cette voix d'enfance, laquelle est en fait celle de l'adulte en poésie qui a su garder le contact avec les récrés buissonnières, constitue la pleine réussite d'un auteur grand chevaucheur de lune s'il en est, et jetant sur terre son humour pétulant :
                                                                                       À tout âge
                                                                                        le nuage
                                                                                          est nu
                                                                                    Quand il a trop
                                                                                           couru
                                                                                     il est en nage
                                                                                            il sue
Guy Chaty s'est donc acoquiné avec les lois de la comptine, où les sons se répondent et les rythmes tourneboulent. Façon savoureuse de créer l'ambiance et de se libérer du cogito :
                                                                          Mon parapluie était derrière
                                                                                    Le vent l'a mis
                                                                                        devant.

Mon chien était devant
le vent l'a mis
derrière.
 
Mon parapluie s'est retourné
Mon chien aussi
tout chamboulé
 Mais il y a plus qu'une esquisse d'anecdote dans chaque texte, une petite scène vécue, une fabulette où l'œil vif du poète s'accompagne d'un clin de satire contre les vicissitudes de l'air ambiant :
Quand le soleil a une poussière
dans l'œil
il pleure
quelques rayons tout noirs
qui donnent sur la terre
les méchancetés du soir
En un mot, voilà un petit recueil qui requinque en ces temps rabougris et ras-du-gris !
Claude Albarède. Revue Diérèse n°59/60 printemps 2013
  

Il s'agit d'un recueil de poèmes destiné à des enfants de 7/10 ans. Les textes regorgent d'inventivités et de jeux de mots. Ainsi ce "Vélo-soleil": Je roule sur deux soleils/ et j'en mets un rayon / pour filer / comme une étoile ou ce poème sur la nuit : La nuit a tiré le rideau / sur le ciel / et la terre entière / est tombée dans le noir. / Alors pourquoi mes rêves / étaient-ils en couleurs ?. Ajoutons enfin que les illustrations de Raphaël Lerays sont de très bonnes qualités et confèrent une densité plus grande encore aux poèmes de Guy Chaty.

Jean-Christophe Ribeyre, Revue Verso n°153 


Ce très joli livre se compose de poèmes souvent cours, adressés aux enfants, et accompagnés d'illustrations pleines d'humour. L'ensemble est un régal pour les yeux, ne pouvant qu'éveiller l'imagination des jeunes lecteurs grâce à des jeux de mots, et aux sonorités qui se bousculent en cascades. La météo y est évoquée sous tous ses aspects, avec ses conséquences parfois cruelles : « La terre en a gros sur la patate / d'être traitée et maltraitée / comme une vieille savate.(...) De colère / elle lance des éclairs / crache son feu d'enfer / gonfle ses joues d'océan / et au comble de la rage / envoie des raz-de-marée / sur les plages. »

Certains poèmes très courts amusent à la manière des devinettes de notre enfance : « Pourquoi ce soir la lune a un halo ? / C'est parce qu'elle téléphone ! ». Ce livre séduisant, tant par son contenu que sa présentation, ravira les poètes en herbe, en entrouvrant pour eux le domaine trop souvent éloigné de la poésie, ici mise à la portée de tous tant elle transforme par sa magie notre quotidien : « Le soleil et la pluie / font pousser les bambous / Mon père et ma mère / font souper les bambins : chacun son boulot ».

Eliane Biedermann. Interventions à haute voix n°52, février 2014

Le recueil se compose de 35 textes courts accompagnés d’illustrations peintes à l’aquarelle. Faussement désinvolte (La nuit), cocasse, l’illustration s’accorde aux textes avec légèreté. Elle en reprend parfois les termes (Verglas) ou à l’inverse, s’efface à son profit (Vélo-voilé, Le halo de la lune). La mise en page est variée, aérée. Certains textes opposent parfois deux réalités, les rapprochent (Vélo voilé, Éclipse, La fée et la sorcière). Des messages bons pour grandir sont lancés (ex : souper versus pousser in Bambous et bambins) mais Chacun sa place. Ainsi la fleur écarlate sortant de son pot, quitte son milieu, se fane et l’oiseau dans sa cage, déprime. Alors qu’un enseignement se dessine (présence de l’instituteur/trice), une sagesse prudente mais souriante émerge. Elle rappelle les risques découlant d’alliances (Regret de gouttes) ou de comportements déplacés (La feuille nue, La fleur écarlate, Cet air-là). De même, les voyages comportent des écueils (Goutte de pluie perdue). Les plaisirs de la sieste et du rêve (Mic-mac, La nuit, La lune), les jeux sous la neige, dans le vent, les moments passés avec ses parents, en compagnie des animaux ou face aux éléments, s’avèrent être des sources de satisfaction, de rire et d’étonnement : Avec le bonhomme / on se bidonne / Avec les flocons / on s’étonne (Neige). Dans A cheval sur la lune, Guy Chaty passe d’un monde à l’autre, de la nuit au jour, de l’univers à soi et réciproquement. L’enfant malicieux évite de chuter sur le verglas, se contente de ce qu’il a (Pourquoi) ou apprend à regarder le soleil de biais (Solœil). Allégrement, ces poèmes franchissent le fossé des générations.
B.R. - Portulan n°15 & 16

Adorable  À cheval sur la lune  de l’ami GUY qui nous convie, pur magicien, à son esprit d’enfance, à notre propre esprit d’enfance. Un vent de fraîcheur passe, qui emporte le tout. De plus, me confie Guy : l’éditeur a su convoquer LE bon illustrateur... alors, on en VOIT dès l’abord de toutes les couleurs. Bravo à Raphaèl Lerays ! Pour son bambin endormi page 35 dans les étoiles-pétales, le chat avachi au hamac sur une pleine page 16 de Verdure. Pour la tempête bleu acier (p. 7) qui embarque en son bric-à-brac (affreux fric-frac) un chat déboussolé, des zwazo, des branches z’ et des feuilles, sans doute aussi des baldaquins de lits gigognes ? Notre imagination au pouvoir !
Mais retour aux SENS particuliers du Poète. Comment ne pas être sensible à une formulation définitive, telle que celle-ci : Nuage « À tout âge / le nuage / est nu  / Quand il a trop / couru / il est en nage / il sue » (p.5). Pas un motde trop, l’essence du nuage cavalier est là, impertinente.., et fort pertinente quant à l’enfance, dont on sait l’intérêt - immodéré - pour mouftes sécrétions intimes ! Quant au lecteur (adulte ? et plus classique) ne sera-t-il pas comblé par le mètre, en constatant qu’un alexandrin bien huilé se cache (comme nous le vîmes en une certaine étude bachelardo-chatyenne*) derrière un bel et premier Énnéasyllabe... Noble bal(l)ade d’Enée ?
Quant à ladite tempête bleu acier, elle est née de neuf vers - des plus taquins - de quatre syllabes. Où sont emportés (il faut pardonner son audace à cet Élémentaire vent majeur) presque tous les fumeux E, muets, si chers à la commentatrice... qui doit les supprimer en sa saisie :

‘Partout ça pet’ / c’est la tempêt’ / Les arb’se plient / ou cass’ tout net / CassE-noiset- / -tEs Castagnet’ / Partout du bruit / je cach’ ma têt’ / dessous la couet ‘
. La Comptine est là. Et, oui, Cher Guy, voilà qu’on se surprend à le CHANTER ! Il est ailleurs de ravissants inattendus (d’une parfaite logique « enfantine »; questions, et / ou solutions infaillibles).
LA NUIT: « La nuit a tiré le rideau I sur le ciel l et la terre entière l est tombée dans le noir. / Alors pourquoi mes rêves / étaient-ils en couleurs ? »
(p. 34)
Voire VÉLO —VOILÉ: « La roue de mon vélo / est voilée /Mon papa va / la réparer / Le soleil d’hiver / est voilé/ Le printemps va / le réparer » (p. 15)

On est charmé encore (p. 29) par LA LUNE IMMOBILE: « La lune en a assez / de changer de quartier / si souvent // Elle a décidé / de ne plus bouger... / S’arrêter enfin / pleine, ronde / et lisse / reine de la nuit ». Un charme, à la fois simple et raffiné, qui fait rentrer la Lune clans la structure de la Ville, puis - n’est-ce pas - dans les royaumes mozartiens.

Ici ou là, les chutes chatyennes nous enchantent. LE VENT: (...) « Mon parapluie s’est retourné / Mon chien aussi / tout chamboulé » - LE SOLEIL: (...) « Illico me suis levé / comme une poule pond un œuf / pour manger le soleil / à la cuillère ».

En somme, le Ton a été donné avec bonheur dès les deux premiers poèmes. Et l’enfant, ravi par la vision d’un « chien (...) tout chamboulé », pourra se livrer au plaisir des SONS, plaisir des nouveaux mots à créer lui-même, suggérés aussi bien, expliqués, décomposés, désossés à partir d’un exemple ludique, à la façon du chien tout chamboulé... qui va débouler aussi bien en boule, en boulet. Etc !

Qui a dit que le poète inspiré inspire? On ne voit pas pourquoi la poésie dite enfantine serait privée de cette grâce. Oui, bravo et merci à Guy CHATY & à ses complices susnommés.

 cheval sur là lune
ou encore : au plaisir de la langue, dès le plus jeune âge, en cet Ouvrage.
F. C., août 2013.

Notes

* L’ « étude bachelardo-chatyenne » plus exactement dite: « Le poète Guy CHATY Étude de « Mes Navires » (Ed. de l’Atlantique). Un art de vivre en la totalité du monde » est parue dans le n° double 81/82 de la revue Poésie sur Seine (mars 2013) sous la même plume.

** comme annoncé, je me suis permis de supprimer / sauf deux cas / les E muets du poème LA TEMPÊTE. De sorte que ce « nouveau » poème est placé entre guillemets uniques pour la démonstration presque à chanter de cette aimable Comptine.

Portulan n°15 & 16

 

Écrivain : Guy CHATY

Guy Chaty a été successivement instituteur, professeur de lycée, professeur d’université. Parallèlement à son activité scientifique et pédagogique, il a écrit et publié depuis 1977, poèmes, nouvelles, théâtre, essais, chroniques, notes de lecture, chansons, dans quatorze recueils, en particulier chez Alain Benoit, Clapas, D’ici et d’ailleurs, Editinter, Éditions de l’Atlantique, Interventions à Haute Voix, Les Amis de la Poésie, une cinquantaine de revues, anthologies, colloques et sites. Avec ses textes, souvent humoristiques, il dénonce les tares de notre société et donne à entendre l’humain et la nature, tout en restant un dégustateur des mots.

Il a mis en scène et joué des montages de textes, poèmes et chansons, de lui-même et d’autres auteurs, dans de nombreux spectacles ou lectures publiques. Il a initié des débutants au « dire » des textes courts. Il a organisé et animé des manifestations su...

Illustrateur : Raphaël LERAYS

Raphaël Lerays est scénographe, dessinateur, réalisateur.
Formé à l’Ecole d’Architecture de Nantes, qu’il quitte en 2001 avec un double diplôme d’architecte et de scénographe, il débute son activité de réalisateur avec Pierrot (7’), son premier film. Parallèlement, il se spécialise dans la scénographie d’expositions, sans jamais cesser de dessiner. Il réalise alors deux autres courts métrages d’animation, Le Vélo d’Adèle (13’) et 3 minutes 14 secondes et 16 images (3’), et travaille actuellement sur un nouveau film de fiction, Camille (8’).
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